Acheter un bien immobilier à l’étranger : ce qu’il faut retenir

Acheter un bien immobilier à l’étranger

L’achat d’une maison à l’étranger est souvent synonyme de nouvelle vie. Il s’agit d’une manière d’étendre votre horizon ou de réaliser de bonnes affaires. Si vous envisagez l’éventualité d’acquérir un bien immobilier hors des frontières, les prochaines recommandations pourront vous être utiles.

Voir la situation et la législation dans le pays hôte

Le choix du pays de destination devrait se faire à tête reposée. Il faudra éviter de décider sur un coup de cœur. Ce dernier doit réunir les conditions optimales pour un investissement immobilier sur et pérenne. Il est important d’avoir un État stable ainsi qu’une situation socio-économique favorable. Par ailleurs, les modalités de l’achat devront être claires. Le droit de propriété et la sécurité foncière restent des points à voir de près. Dans certaines contrées, les formalités peuvent paraître complexes. En Espagne par exemple, l’acte de vente doit obligatoirement être rédigé par un avocat. Le notaire se contente d’authentifier le document.

Trouver le meilleur financement pour un achat immobilier à l’étranger

À moins de disposer d’un important fonds propre, l’achat d’un bien à l’étranger doit être financé par la banque. Les créanciers acceptent d’octroyer de l’argent pour ce genre d’investissement sous certaines conditions. La plupart des bailleurs accordent le prêt s’ils connaissent le marché immobilier dans le pays hôte. De toutes les manières, un apport personnel important est demandé. Les établissements de crédit exigent également la présentation d’une garantie. Cette hypothèque devrait se trouver sur le territoire national. Dans certains cas, les placements financiers sont reconnus et peuvent servir de caution. L’idéal serait de s’adresser à une banque qui a une filiale dans le pays étranger choisi pour l’investissement immobilier.

Rester en règle auprès de l’administration fiscale

Ce serait dommage d’acheter une maison à l’étranger dans le but de fuir la fiscalité nationale. Il est primordial de se conformer aux règles d’usage en matière de taxes. Ce serait plus facile si le pays hôte a signé un accord bilatéral qui évite une double-imposition pour les investisseurs venus sur place. C’est le cas du Maroc qui a entériné des ententes avec la France. Puis, les loyers perçus à l’étranger font l’objet de prélèvement. Il faudra garder toute la transparence sur ces ressources. Le Portugal pourrait aussi intéresser avec une politique fiscale en faveur des investisseurs venus de toutes l’Europe. Les retraités sont conviés à profiter d’un avantage à leur égard.

Profiter de conseils avisés pour réussir un investissement international

L’aide d’une personne qui vit dans le pays de destination peut être utile pour trouver et acheter un bien immobilier. Il peut s’agir d’une connaissance ou d’un professionnel. Pour la Belgique par exemple, les agents de davidrobin.be peuvent entièrement donner satisfaction aux investisseurs étrangers. Le contact d’un avocat, notaire, ou un autre conseiller en matière de placements reste un atout. Cet expert pourra orienter vers les meilleurs quartiers. Il est aussi habilité à aider pour le choix d’un type de bien. Parfois, ce ne sont pas les habitations qui rapportent le plus. Il faudra penser à diversifier ses investissements.